Aux abords de la lisière.

Un moment de folie, ou au contraire de calme? Peut-être, peut-être pas.
Les pensés D’Eddy était bien triste, il ne pensait quasiment plus en vérité. Ses piercing cinglant son visage à la peau toujours aussi pur résonnait dans les moindres confins du château laissant partout comme une empreinte de sérénité et de clame. Eddy, le calme, le joyeux, l’introvertie extravertie, oui, c’était lui, toujours aussi draguer bien qu’amoureux peut-être. C’était peut-être aussi pour cela que le petit Hyppequos, préfet de troisième année, se promenait à la recherche d’une quelconque activité. Les jolis filles, avaient littéralement disparus. Bien des fois, il avait été traîné avec des secondes années d’un style quasi similaire au sien mais les remarques qu’il avait subies par le reste de sa bande d’ami de troisième année, l’avaient empêché de continuer. Maintenant qu’ils avaient tous fuis, il se demandait si l’amitié qu’il leur portait n’avait pas été trop fictive. Mais peut importait, maintenant, le mal était déjà fait.

Il s’assit premièrement dans un couloir, un banc d’un blanc trop pur, ruisselant de tache grise faite par l’usage du temps, le rendait encore plus attachant. Il regardait les autres portés par le vent courir pour se diriger vers tel ou tel lieux. Aujourd’hui, le jeune home n’avait cours qu’à partir de trois heures, son heure de divination étant remise à plus tard. Il s’ennuyait fermement. Et d’un coup, regardant par la fenêtre derrière lui, il se promit d’aller faire de nouvelle rencontre, fussent-elles masculines. Peu lui importait.

« Allons-y ! »

Dit-il amèrement avant de ce dirigé vers le foret interdite. Une fois arrivé à la clairière, il s’assit et attendit. Quoi ? Qu’importait maintenant ? Puissamment Enfoncés dans les racines d’un arbre, il était bien décidé à ne pas changer de place. Les branches cachant son corps, on ne voyait plus que sa tête sortant de l’arbre géant comme s’il venait d’y être enterré. Petite pensée macabre du jour, certainement. Il sortit sa baguette et s’amusa à faire voleter quelques feuilles entremêlaient en un doux tourbillon de verdures flottant incessamment devant lui. Sa main avait du mal à les diriger et elles finirent par tomber devant lui, peignant son visage de douce couleur d’automne. Il se releva en trombe alors qu’un mille-pattes vicieux venait de paraître sur ses bijoux familiaux, il se reprit, s clamant en faisant valser la pauvre bête à trois mètres puis, jouant avec un feuille morte, qu’il écrasait en faisant entendre de petits craquellements sinistres et mélodiques.

Sa chemise bleue roi ou motif blanc était devenu complètement marrons et tout terreux, le T-shirt à manche longue d’un bleu légèrement plus clair par la multitude de lavages qu’il avait subi donnait à sa carrure sportive une note de plus. Son pantalon, un jean levis avec anti-forme achetait aux puces et troués à de nombreux endroit avait lu aussi des taches marrons, alors que de la terre s’infiltrer secrètement dans les méandres de ses grands jambes. Son pantalon, pourtant était encore beau et les chaussures Osiris bleu électrique et noir lui donnait un peu le style d’un pseudo skateur comme il y en avait tant dans les rues de Londres de Paris ou de toute autres grandes villes.

Un instant de trop, il lui sembla qu’il n’allait trouvé personne dans ce fameux château, le soleil envoyait à travers les arbres de doux reflets rouge et orange de la même couleur qu’un feux. Il resta un instant là, à ne rien faire avant de sombrer dans une seconde vie, se souvenant de tous ses pires caucalis. Dans le ciel, un château semblait volait, et ici, dans le noir confins où il se trouvait, il rêver d’un monde au couleur plus pur encore que le blanc éclatant. Il se ressaisi. Il était en manque, c’était certain. Sortant de sa poche un petit paquet, il prit de sa main droite, la gauche tenant malencontreusement le paquet, une cigarette et un briquet. Des Camel sans filtre, plus de goût, ici impossible de trouver les fameuses seven star. Il apporta à ses lèvres un première bouffée de goudron, c’était son oxygène à lui, un oxygène meurtrier qui le tuait peu à peu il le savait. Et s’il devait conseiller à quiconque de ne pas fumer, il aurait simplement dit de sa voix sur et posée : « c’est ta vie ! »

Le je m’en foutisme du garçon aurait pu en étonner plus d’un mais après tous, ce n’était plus lui ici qui diriger les coups foireux. Ici, il était la responsabilité et la responsabilité n’avait que faire des jugements des autres !

Entendant un craquellement de bois, il jeta sa cigarette, prenant dans sa bouche une ultime « latte » puis enfonça sa cigarette dans le sol meuble. Il posa son pied dessus, recracha la fumée, et jeta dans sa bouche un chewing-gum prit dans sa seconde poche arrière. Un goût de menthe intense se balada un instant dans les airs avant de finir sa plongé dans l’estomac d’Eddy qui prit un second chewing-gum du même goût.

(je précise que c'est réservéééééé !! pas d'incrustage siouplait, je veux fair un sujet avec my sister !!)

Le ciel était d'un gris métalique qui n'augurait rien de bon. De gros nuages noirs s'amoncelaient par endroit mais il faisait encore assez chaud dehors. D'ailleurs ce temps incertain n'empêchaient pas les élèves de sortir et surtout pas Kim. La préfète se sentait bizarre ces denriers temps. L'école lui semblait vide, elle se sentait un peu seule au monde mais ce n'était pas si désagréable. Elle commençait juste à se remettre des évènements de l'année passée. La mort de Scitar et puis l'absence désespéré de Kasumi lui semblait loin, comme des souvenirs empreint d'une tristesse infinie mais qui n'était plus, enfin, que des souvenirs.

Aujourd'hui elle arrivait à sourire en pensant au passé. C'est vrai elle avait déprimé, elle avait cru mourrir et elle ne s'était jamais enfoncé si loin dans le désespoir... Mais elle s'en était sortit. Et maintenant elle n'avait plus qu'à avancer, regarder devant, grandir aussi... Le plus dur était derrière elle. Elle n'avait qu'une seule chose à faire encore, sans doute la chose qui lui serait le plus douloureuse. Mais tant pis, il faudrait qu'elle la fasse. Elle allait trouver Orlando et lui parler.

Sa ne pouvait plus continuer... Orlando était la personne qu'elle aimait le plus au monde mais ils ne se voyaient plus et, il fallait bien l'admettre, les choses n'étaient plus ce qu'elles avaient été. Entre eux ne subsistait plus qu'une tendresse immense et amour presque fané. Elle continuerait sans lui. Ce qui lui importait c'était qu'il soit heureux et elle avait la sensation qu'elle ne faisait plus partie de se bonheur même si elle l'avait été un jour...

C'est donc d'une humeur morose et légère à la fois que Kim arborait l'avenir. Du moins l'avenir proche. Elle ne voyait pas plus loin que les prochains mois. Et cette après midi là, son cour de potion avait été déplacé. Elle avait donc décidé de sortir, de s'ahérer. Et puis aussi elle cherchait quelqu'un, quelqu'un qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps et qu'elle venait d'apercevoir s'enfoncer dans la forêt. AUssi marchait t'elle d'un bon pas à la poursuite du préfet d'hypequos, les yeux dans le vague, réfléchissant sous le ciel de plomb.

Un vague sourire demeurait sur ses lèvres depuis quelques jours et elle pénétra dans la forêt sombre en ayant l'air gaie. Comme la Kim d'uatrefois qui chassait lentement la Kim de ces derniers mois. Et d'ailleurs c'était elle, la Kim de ces derniers mois, qui poussait la préfète à la poursuite d'Eddy. Comme elle avait été cruelle avec lui ces derniers temps ! Avec lui comme avec tant d'autres...

Kim s'arrêtta à la lisière de la forêt, regardant les grands arbres presque effrayant. Elle pris une grande bouffée d'air et s'enfonçat dans la forêt... Elle sourit légèrement, cette forêt lui rappelait bien des choses, bien des moments vécus, des aventures épuisantes, des bêtes terrifiantes... Et aussi des émotions, des sentiments.

Et c'est là qu'elle le vit. Juste sa tête d'abord, émergeant des haute racines d'un arbre, puis son corps, tassé entre ses même racines. Ses habits étaient pleins de terre et son visage semblait morne. Un feuille déchiqueter trainait à côté de lui et aussi une cigarette écrasé précipitemment sur le sol. Il avait dût l'entendre arrivée. Elle lui sourit, d'une sourire neuf, doux, une sourire léger qu'on ne lui avait jamais vu, pas même lorsqu'elle souriait tout le temps, il y a longtemps. Non, elle semblait s'être assagit, calmé, et son sourire avec elle.

"Bonjour Eddy !" dit elle d'une voix posée et joyeuse.

Elle s'approchat de quelques pas, constatant que le jeune homme n'avait pas l'air trés bien. Elle réalisa qu'elle connaissait peu Eddy mais qu'il était quand même son ami. Un ami auquel elle tenait. Mais sa, elle ne lui avait jamais dit. Elle savait si peu de chose de lui ! En général lorsqu'elle le voyait s'était pour lui crier dessus, ou éclater en sanglots. Elle sourit de nouveau, et désignat la cigarette au sol.

"Tu sais, tu ne devrais pas fumer !"

Son ton était toujours léger, presque heureux. Rien à voir avec un ton de petite préfète modèle qui s'apprêtait à lui faire la morale, comme elle en avait surement employé avec lui à plusieurs reprise. Ce ton là avait disparut aussi semblait-il...

"Parce que quand on fume on meurt plus vite" poursuivit-elle.

C'était une véritée un peu simpliste, mais une véritée quand même.

"Et moi... Je ne voudrait pas que tu meurt Eddy..."

Elle lui adressa un nouveau sourire mais ses yeux montrait qu'elle était treés sérieuse...

(The return of Kim-chan !!! lool !)